"Ultrafavori à sa propre succession, le président Orbán peut compter sur une galaxie de partis louches qui devraient siphonner quelques précieuses voix aux législatives, ce dimanche 8 avril.
Il n’a manqué que quelques signatures à András* pour valider sa candidature, comme il y a quatre ans. Aux élections d’avril 2014,
l’homme avait convaincu suffisamment d’aspirants, payés chacun 200.000
forints [660 euros], pour monter une liste nationale d’au moins
vingt-sept noms et réunissant cinq cents paraphes ou recommandations par
district. L’opération était trop alléchante pour qu’András laisse
passer sa chance." La suite sur slate.fr
dimanche 8 avril 2018
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